Les troupes Nigérianes combattent Boko Haram, au moins 13 morts

attaque attentats suicide borno abubakar shekau djihadiste boko haram morts personnes

-Les troupes nigérianes combattent Boko Haram au Lake Chad samedi infligeant 13 morts aux islamiques

-Le conflit à déplacer des milliers de Nigérians et fait plus de 20 000 milles morts

-Le groupe djihadiste a intensifier ses attaques à Maiduguri, capitale de l’état de Borno

13 morts par les troupes militaires Nigérianes ce samedi.

Les troupes Nigérianes ont combattu Boko Haram Samedi dans la region du lac Tchad, tuant 13 des extrémistes islamiques et 10 autres arrêtés dont 6 femmes qui ont aidé à transporter des fournitures aux insurgés, a déclaré un porte-parole de l’armée.

Le 8ème Bataillon ont passé 72 heures à déblayer l’endroit où les combattants de Boko Haram se cachaient.

Beaucoup d’autres combattants de Boko Haram ont été blessés, at-il dit selon le Colonel Timothy Antigha. 

Les troupes de l’armée, agissant sur une pointe, ont arrêtés 10 trafiquants soupçonnés de Boko Haram, at-il déclaré.

Les suspects, six femmes et quatre hommes, font l’objet d’une enquête afin de déterminer l’importance de leur participation à Boko Haram, at-il dit.

L’armée a reprit le contrôle de la plupart de la région forestière de Sambisa dans le nord-est du Nigeria à Boko Haram en décembre 2016.

Les troupes nigérianes ont donc poursuivi les combattants extrémistes dans les zones où ils ont fui.

La campagne violente de Boko Haram pour saisir le territoire nigérian afin de faire respecter la charia est responsable de la mort de milliers et a déplacé environ 3 millions de personnes, principalement des femmes et des enfants, depuis 2009.

Des milliers ont été enlevés par Boko Haram, dont près de 300 écolières Chibok en 2015.

Des scènes joyeuses se sont produites à Abuja, samedi, lorsque 82 écolières Chibok ont été réunies avec leurs familles.

Le gouvernement Nigérian a négocié avec Boko Haram, afin de garantir la liberté des jeunes filles de Chibok.

En échange des filles, cinq commandants extrémistes avaient été libérés.